Pitcher sans stresser… mais avec panache !

Les participants de l’atelier « pitcher sans stresser » sont arrivés sous le soleil… ce qui annonçait une journée au top ! Aux commandes, Yaële Simkovitch, scénariste, journaliste, podcasteuse et experte en pop culture.

Life’s a pitch !

On pitche tous vingt fois par jour.

Tu sais ce qui est arrivé à Julie hier ? Elle s’est retrouvée enfermée chez elle. Son copain avait fermé la porte à clé et elle n’avait pas pris son double !

Faut que je te raconte le film génial que j’ai regardé samedi. C’est l’histoire d’un tueur en série qui s’en prend aux projectionnistes…

Tout ça, c’est pitcher. Et grâce à Yaële Simkovitch, on s’est réconciliés avec l’exercice. Au lieu de penser vendre, compétition, gagner, on a préféré parler de connexion, d’entente et de compétence. En fait on s’est détachés du très en vogue concours de pitch pour revenir à ce qu’un pitch est vraiment : raconter une histoire qu’on aime.

 

Aimer son projet

L’après-midi, place aux projets des participants. Chacun a mis en pratique les conseils du matin pour présenter son court métrage, sa série, son long métrage… On a surtout compris que pour bien pitcher il fallait avant tout aimer son projet. Et bien le connaître pour bien le défendre.

Un pitch, c’est un blind date.

C’est comme un premier rencard. On va boire un café ensemble pour voir si on a envie d’un deuxième rencard. Plutôt que de vouloir impressionner le producteur que vous avez en face, restez vous-même et soyez à son écoute. Et n’hésitez pas à lui donner la parole en lui demandant par exemple s’il a des questions sur votre projet.

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